Comment lui dire ?

 Lui faire comprendre d'un sourire..

Comment ne pas  maugréer face aux malpropos 
Ne plus écouter  les relances sexo sous jascentes ...
médisances sans intérêt 

Respirer s''éloigner fermer ses oreilles
je ne suis pas de ce monde , ni de la  ni du café du coin!

L'erreur vient de mon premier regard 
 je voyais l'élégance de la diction
l'attitude discrète  bienséante .
 

Se venger pourquoi ?

 Sans m'appuyer sur de mauvais jours souhaitables 

sans  demander  de dédommagement ,
le fil des jours me rassénère réellement,
et calme la violence des tempêtes . 
 Beaucoup d'admiration m'a  tenu debout  le chemin continue.. c'est ma vie ...

Marcher avec l'histoire

 Il y a une heure , Grenade et l'Albaïcin donaient la fraicheur des fontaines
 puis peu après  les Parfaits ,les Cathares étaient là avec JP  
nous suivrons leurs traces quand l'heure de la cure reviendra . 

Venise et le Titien m'ont attiré à leur tour
à San Rocco,
j'entends encore le bruit de nos pas, le long des canaux.. 

Albrecht Dürer mon amour de la peinture Flamande
et Vermeer remettent le ton au  point pour accueillir Rembrant et sa relève de nuit.

Tu as pensé qu'il valait mieux

Me quitter sans un adieu
sans me suivre des yeux
j'entendrai rouler ce train toute ma vie
 La nuit noire était tombée sur ma vie 
 tu étais la  belle image de ma vie
 Si le monde parait aujourd'hui désorganisé  
La terre elle ,n'a cessé de tourner 
 je continue de dormir sur la plage d'un autre
sous son  soleil exactement juste en dessous .
Il y a peu, je pensais, encore un soir ,
un peu de nous ; tout est nettoyé

A ceux que j'aime et que j'aimais

Voilà le temps des fêtes, ce matin encore en chemise de nuit
j'ai enfilé mes petits chaussons pour aller à petits pas 
admirer le sapin de grand mère devant la cheminée . 
 OH ! il a neigé et le père Noël est venu ;
mon grand frêre a collé son nez sur la grande fenêtre " regardes Mary c'est beau" ,
mais Brr ; il fait froid ! dehors  Pépé et Papa sont ils rentrés ?
 La poupée des cars Citroën m'attend avec sa belle robe  
et  un grand garage en bois attend les petites voitures de mon frêre ,
les grands nous embrassent , on allume le sapin  Avec mon service de verres en plastique ,
 j'offre l'apéritif c'est rigolo !
 j'avais 6 ans , mon frêre neuf; un parfum de bon temps passé!  

Maintenant tous les grands sont partis au ciel , j'ai 65 ans de plus 
j'ai une grande fille qui remplace ma poupée ... 
le " prince charmant " n'aime pas ces fêtes ,
 comme l'orage il gronde souvent...
 peut être que ces joies de fin d'année ne lui plaisent pas ..
 dans quinze jours ma fille viendra  je l'attend   (mais son papa est parti très très loin ...)
elle est aussi jolie que ma poupée , 
nous serons en 2020 c'est le temps des lendemains !

Ma place dans ton exil

Toute la place dans cette ile déserte est pour moi
Occuper le temps , les lieux , tes pensées 
par ma présence  jamais effacée
toute l'incarnation de ce que tu as aimé.

Je ne t'oublierai jamais

Le temps passe ,seul l'amour  reste toujours 
depuis le 1er sept 1973 je te reste fidèle
 46 printemps sans toi , je te parle toujours
tu savais que jamais je ne t'effacerai...voilà

Dix ans pour disparaitre du globe

Parce que cela , je le sais depuis ton départ 
tu te caches, ou ? la bas dans un lieu qui ressemble à celui de ton enfance.
tu t'es même "inventé " une nouvelle famille..avec qui te semblait bon de jouer cela 
tu nous as abandonnées oubliées . 
 l'actualité replace un personnage qui avait tué femme et enfants 
pour vivre ce que tu vis maintenant ,jamais je n'aurais agressé mon enfant !!
 Dans le désert mon coeur crie ou es-tu ? ou te caches-tu ?

Mes soeurs de vie

Il y a celle de mes études , de mon premier envol
Evelyne Hathmann.  puis celle de l'internat DominiqueDéche, près du canal Latéral sur la Loire 
ma deuxième fuite en Italie,
calzatures et cendrier de Murano.; le land be oué breton entre autres
 la flotte armée de Brest  ....
 Frontenac et le saint Laurent de Louise, le vieux québec,
le plongeon huard et les outardes  , les manteaux de loup, les slaloms  olympiques
 trois ans d'enseignement et d'amitiés ; jusqu'aux fêtes de Dany
 près du chateau d'Azay , les larmes amères pour Denis,
 les anglos partys  incompréhensibles, l'entretien du jardin ,
le nettoyage des sièges en osier
 départ vers l'Est en avion with la Lot compagnie

etc etc...

      

La fin de l'été Andalou

Tu sais je n'ai jamais été aussi heureuse que ces jours la , 
nous marchions main dans la main 
sur la plage mouillée vers demain
c'était la fin d'aout le soleil déclinait, 
je me souviens très bien  de tout cela pour toi et moi
 tu m'as dit que tu n'oublierais jamais
la couleur de mes yeux et celle de mes cheveux.
Toute ma vie serait pareille à ce matin  
aux couleurs de l'amour andalou

 ces phrases d'amour étaient pour moi  jamais tu ne les rediras

Mégalithe girl

 Quand ,tu m'as quitté tu ne savais pas je n'en parlais pas
 souvent je suis passée près de la pierre levée route de Vatan 
 un frisson parlait du temps me coulait de frais dans le dos
 Si je suis ce que je suis ,c'est que je sais
 beaucoup plus que tu ne le crois ,comme ça 
 Ce dolmen bien plus fort que le temps a su me protéger de ses fureurs 
 je me souviens mon père était à sa recherche
 nous y sommes allés, j'avais froid partout dans le corps.

Jeu de dates

Premier septembre 1973..saint Gilles
11 février 2011...saint Alexis
souvenirs des jours heureux, 38 années oubliées , rangées ressuscitées ...
comment se peut-il ? je ne l'avais jamais ni pensé

Le Harem

Fermez le Ban  , quatre ou cinq  cougars ou beaucoup  plus ...
il me faut ..comprendre l'inexplicable besoin sexuel constant 
 qui crée l'obligation d'être " homme "...
 la cartographie insensée loin des sentiments
la course effrénée vers le besoin de se prouver

Sans me ressentir " flouée" ,il me faut occuper  la dernière
place , loin d'être concernée par toutes 
ces explorentes charmées et délaissées ...
comme il se doit !   
entre nous  Tous y compris pour mon "ex" 
la machine a broyer  les femmes a continué .. 
 d'Est en proche Orient  c'était  le destin!...
et non pas une obligation !   

OUBLIER QUAND C'EST OUBLIE.

Je vis dans un monde fait rien que  pour moi
 même si je ne ne suis plus tout à fait moi 
sans toi qui n'existe pas, peu m'importe
ton nom n'est plus le mien il s'est envolé
 je ne peint plus ,ne dessine plus,
les touches de couleur je les ai perdues

A mille lieux d'ici
peut- être est-ce ailleurs ?
je ne connais pas cette histoire
parfois cela me fait peur 
il vit dans monde qui n'existe pas
sans moi tu n'es plus toi ...

Respect a ce mort disparu

A livre ouvert les sentiments forts continuent
Toi fidèle ordinateur toi  toujours présent
qui observes les monts et les précipices de ma vie  
je ne pourrai lui offrir des fleurs 
ou lui dédier mes pleurs si sincères soient-ils.
j'ai découvert le silence absent de l'autre
il garde ce recul insupportable celui les taiseux d'hier ( les siens).
 Souvent les pensées de mes grands mères 
donnent le ton et la raison cette absence 
qui tort si fort la gorge et coupe la respiration.
 Ou étaient-ils ? sur quelle bataille ?
sont-ils vivants , reviendront-ils ?
Toi, de ton plein gré tu t'es fait ravir par le vent
du temps celui des idées toutes faites.
La bas ,tu es mort pour les tiens 
que tu n'aimes plus
Maudit  fuyard à l' âme isolée 

Plus rien n'a de sens sans toi

Les souvenirs se voilent

Soleil de ce pays perdu
un matin j'écoutais " l'Algérie "
que faire maintenant ?
tu es parti avec une valise vide
Cassandre pour " n'oublies jamais"
..Disparaitre .. perdu l'adresse"
des feuilles mortes , des jours heureux
 ..Bakou..la fuite..voyage sans retour
j'ai perdu mon âme son château 
de mur pour confier mon chagrin
il n'y a pas de place pour moi dans ton exil
 La Pourvoierie du Lac blanc ne m'a pas rendu la vie
 chaque jour s'avance inutile attente

Encore ton absence me relance 
encore un jour inutile 
je voudrais entendre tes pas et ta voix