A livre ouvert les sentiments forts continuent
Toi fidèle ordinateur toi toujours présent
qui observes les monts et les précipices de ma vie
je ne pourrai lui offrir des fleurs
ou lui dédier mes pleurs si sincères soient-ils.
j'ai découvert le silence absent de l'autre
il garde ce recul insupportable celui les taiseux d'hier ( les siens).
Souvent les pensées de mes grands mères
donnent le ton et la raison cette absence
qui tort si fort la gorge et coupe la respiration.
Ou étaient-ils ? sur quelle bataille ?
sont-ils vivants , reviendront-ils ?
Toi, de ton plein gré tu t'es fait ravir par le vent
du temps celui des idées toutes faites.
La bas ,tu es mort pour les tiens
que tu n'aimes plus
Maudit fuyard à l' âme isolée
Plus rien n'a de sens sans toi
1 commentaire:
les désastres du chagrin nous suivent toute la vie .
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